Paul Smit | Mick Palarczyk- reportages, photos et textes : blog

La photo, le récit: Chevelure rasta

"Vous avez mis combien de temps à faire pousser une chevelure aussi abondante ?" L’Antillais Roland Joe, mieux connu sous le nom de Ras Bushman, rigole. "Ado, je voulais devenir rasta. Depuis, plus aucun coiffeur n’a eu le droit de toucher à mes cheveux." Vous pouvez admirer sa coiffure à Philipsburg, sur l’île de Saint-Martin, où il gère le restaurant végétarien Freedom Fighters Ital Shack. Il cultive lui-même ses légumes et votre palais vous le confirma. Mais il est également musicien. Son fils a pris la direction du petit groupe Freedom Fighters, fondé par Ras. Il n’est pas rare d’entendre des sonorités reggae sortir de la cabane (Photo Mick Palarczyk).

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Ces photos font partie du reportage sur les Antilles néerlandaises Saba, Saint-Eustache et Saint-Martin.

La photo, le récit: Coup d’œil par les yeux d’un saint

Un enfant admire le panorama depuis le dos d’un géant (photo en bas). Datant de 1698, le Colosso di San Carlone, gigantesque statue en cuivre représentant un membre béatifié de la puissante famille Borromeo, surplombe les collines encadrant le Lac Majeur à Arona, en Italie, et bénit le paysage. Pour voir le monde à travers ses yeux de saint, il suffit aux mortels que nous sommes d’emprunter l’étroit escalier qui donne accès à l’intérieur de sa tête (photo en haut). Photos Paul Smit.

Ces photos sont extraites du reportage Lac Majeur.

La photo, le récit: La façade qui fait de la musique

Les deux dernières décennies Dresden est devenu une ville conviviale et artistique. Le Kunsthof Passage dans Neustadt, le quartier hip de la ville, par exemple, est une explosion de créativité architecturale. Comme ici, dans la Hof der Elemente (la cour des éléments). Sur cette façade, la pluie fait de la musique (photo Paul Smit).

La photo, le récit: Une soupe de potiron à la crème ?

The Wave, dans la Vermilion Cliffs Wilderness Area, est l’un des paysages les plus curieux des Etats-Unis. On le dirait liquide, comme si un doigt gigantesque a commencé à mélanger de la crème fraîche dans une vague de crème de potiron. Mais c’est bel et bien de la pierre. Du sable fossilisé, pour être précis, jadis déposé dans un désert par le vent et poussé à la surface par l’érection du Plateau du Colorado. Par la suite, l’eau des rares précipitations a creusé et érodé les couches de grès (photo Paul Smit).

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Cette photo est extraite du reportage A la recherche de La Vague.